Je m'appelle Anne-Claire LAUROT, j'ai 41 ans, suis mariée et mère de deux enfants.

Je suis praticienne en Hypnose Ericksonienne (formée à l'Arche Paris), kinésithérapeute et passionnée de course à pied.

Pourquoi je pratique l'hypnose ?

      1. Parce que je crois au changement.
      2. Et je crois qu'il est facile et rapide quand on utilise le bon outil.
      3. Que j'ai une grande admiration pour la créativité de chaque être humain (même de ceux qui se disent non-créatifs !) pour trouver une bonne solution.
      4. Que j'ai une profonde confiance dans les ressources de chacun pour la mettre en place durablement.
      5. Et que j'ai testé moi-même, aussi bien dans le domaine sportif que dans la thérapie... avez-vous déjà savouré le plaisir d'être vraiment aligné avec vous-même ?

Comment je pratique l'hypnose ?

Ce que je fais

Je vous écoute, vous accompagne avec bienveillance dans votre changement, vous aide à utiliser au mieux vos propres ressources, vous encourage à être autonome, à trouver les clés du fonctionnement de votre cerveau, à prendre durablement le contrôle de votre comportement.

Je respecte votre rythme de changement.

Je parle « vrai ».

Je vous oriente de façon à ce que vous puissiez atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés, grâce à différents outils (Hypnose Ericksonienne, RITMO, EFT)

Ce que je ne fais pas

Je ne juge pas.

Je ne fais pas le travail à votre place, ne donne pas de conseils.

Je ne fais pas de complaisance, je vous dis les choses que je perçois parce que l’authenticité est une de mes valeurs principales en thérapie, et parce que c’est bien plus simple et rapide quand on travaille ensemble au bon endroit.

Je ne travaille pas avec les gens qui ne sont pas motivés, ni avec ceux qui viennent juste « essayer » ou faire du « tourisme hypnotique » : je consacre tout mon temps et toute mon énergie à ceux qui veulent vraiment avancer !

Ma conception de l'accompagnement en hypnose :

 

  • J’ai vu un ange dans le marbre et j’ai seulement ciselé jusqu’à l’en libérer.

    –Michel Ange